PRIÈRE DE
BIENHEUREUX JEAN MARINONI
Mon Seigneur,
Je viens à toi car tu es ma vie
et la gloire que je souhaite atteindre.
Toi, Seigneur, garde mon cœur,
règle et gouverne mon esprit,
dirige mon intelligence,
élève mon amour
au ciel pour toi,
parce que, pour ton bien,
je supporte avec patience
chaque opposition terrestre.
Amen.
Il était le plus dévoué, le plus vigilant et le plus abstinent. Et d’abord, quant à la dévotion : on le voyait souvent pleurer, non seulement en cachette, mais souvent encore lorsqu’il célébrait, et surtout des fêtes solennelles. Parfois de joie, parfois de douleur et de compassion comme les jours qui commémoraient la passion du Seigneur dont il était très dévoué. Et donc chaque vendredi, après la prière, nous nous rassemblions tous dans le chœur, et il disait quelques mots de l’amour du Seigneur avec une telle ferveur, qu’il nous excitait à la dévotion, avec notre grande consolation (bien que ceux qui n’avaient pas peu d’esprit aimaient ). Il se tenait avec un visage joyeux mais sérieux, montrant que Dieu était avec lui. Allant de la cellule au chœur, et du chœur à la cellule, et se promenant dans Naples, il priait toujours, disant des psaumes et d’autres prières.
Il avait une nature aimable, et était aimé, vénéré, honoré et estimé par tous les gens laïcs, bons et mauvais, ce que j’ai vu parce qu’il l’accompagnait souvent autour de Naples, et j’ai vu l’honneur qui lui était fait par tous, qu’ils réservé aux saints. Il était merveilleux pour recommander l’anime à l’article de la mort; et il était souvent appelé à remplir cette fonction. Et beaucoup de gens qui étaient présents aux recommandations ont changé leur vie, et sont venus se confesser à lui. En prêchant, il n’a pas dit des choses de beaucoup de doctrine. Mais les choses qu’il disait étaient dites avec une telle ferveur et une voix puissante (il avait une grande et belle voix douce et suave) qu’il émouvait ses auditeurs à la dévotion.
Toute sa vie, ses paroles et ses actes, était un portrait vivant de la vraie sainteté. De tout, elle tirait occasion d’exciter les âmes à abandonner leurs péchés et à aimer Dieu.Ce que j’ai dit suffit à démontrer la sainteté de sa vie la plus pure encline à la miséricorde, à la piété et aux œuvres de charité, particulièrement envers les malades intérieurs et extérieurs. de la maison.
De la lettre de Sant’Andrea Avellino,
prêtre (Vezzosi, Écrivains II, 74 sq.).
Son chiffre :
Le bienheureux Jean Marinoni est né à Venise en 1490. Ancien prêtre et chanoine de la Basilique Saint-Marc, il embrassa la vie apostolique parmi les Clercs Réguliers des Théatins, faisant sa profession solennelle entre les mains de San Cajetan Thiene le 29 mai 1530. En 1533, avec Saint Cajetan, il fonda la première Maison de l’Ordre dans cette ville de Naples. Il y resta presque toute sa vie, consacré à la prière, à la prédication sacrée, aux confessions, à la formation des religieux de son Ordre (il fut le Maître de Sant’Andrea Avellino et du Bienheureux Pablo Burali).
Il renonça au gouvernement de l’archidiocèse que lui offrait Paul IV. Pour aider les pauvres, il encouragea ses pénitents à fonder le Monte di Pietà. Il mourut aussi saint qu’il avait vécu le 13 décembre 1562 et est enterré dans le même tombeau que saint Cajetan à San Paolo Maggiore à Naples. Le pape Clément XIII, en 1762, approuva le culte du Bienheureux qui lui était déjà rendu depuis des temps immémoriaux. Sa mémoire est célébrée le 12 décembre.
Prière
Oh mon Dieu, tu as rendu admirable le bienheureux Jean Marinoni
comme imitateur de ton Fils par la contemplation de
mystère de la croix, accorde-nous par son intercession non seulement le
grâce spéciale que nous demandons, mais aussi celle de
marcher sous l’impulsion de son exemple dans les pas du Christ pour
récolter les fruits de la rédemption. Par notre propre Christ
Monsieur. Amen.
(se hace un silencio pidiendo la gracia que se desea obtener)
Notre Père, Je vous salue Marie et Gloire.
« SA VIE ÉTAIT UN PORTRAIT EN DIRECT DE VERA
SAINTETÉ »
Q.P.R.D.